Toujours agréable lecture d'Agnes Martin-Lucand même si parfois cela traîne en longueur et qu'on s'attend au dénouement !
"Résumé
: Yanis et Véra ont la petite quarantaine et tout pour être heureux.
Ils s'aiment comme au premier jour et sont les parents de trois
magnifiques enfants. Seulement voilà, Yanis, talentueux autodidacte dans
le bâtiment, vit de plus en plus mal sa collaboration avec Luc, le
frère architecte de Véra, qui est aussi pragmatique et prudent que lui
est créatif et entreprenant. La rupture est consommée lorsque Luc refuse
LE chantier que Yanis attendait. Poussé par sa femme et financé par
Tristan, un client providentiel qui ne jure que par lui, Yanis se lance à
son compte, enfin…"
"Nous connaissions chaque parcelle de nos corps, nous savions quel geste,
quelle caresse ferait frémir l’autre, et pourtant à chaque fois que
nous faisions l’amour, nous explorions une nouvelle facette, un nouveau
plaisir. Nous redécouvrions la connaissance que nous avions de l’autre
et de ses désirs. La peau chaude des mains de Yanis, alliance de
callosité et de douceur, me faisait toujours tressaillir, trembler, ses
baisers provoquaient toujours autant de musique dans ma tête et mon
cœur. Il regardait avec un mélange d’adoration et d’admiration mon corps
marqué par mes trois grossesses. Pour lui, mon ventre qui ne serait
plus jamais plat, mes hanches plus larges, les quelques vergetures et
mes seins moins volumineux depuis que j’étais maman m’avaient rendue
plus attirante encore à ses yeux, plus sexy. Il me rendait belle.
Repus d’amour, somnolents, dans les bras l’un de l’autre, nous luttions contre le sommeil. Comme pour faire durer la magie de la journée."
Repus d’amour, somnolents, dans les bras l’un de l’autre, nous luttions contre le sommeil. Comme pour faire durer la magie de la journée."
"Il avait planté ses yeux dans les miens.
-Véra… J’ai comme une musique dans ma tête.
- Moi aussi…
Le métro s’était arrêté. Et il m’avait embrassée. Ce n’était plus une simple musique que j’avais dans la tête. C’était un concert philharmonique. "
- Moi aussi…
Le métro s’était arrêté. Et il m’avait embrassée. Ce n’était plus une simple musique que j’avais dans la tête. C’était un concert philharmonique. "
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